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22/06/2012

24. aujourd'hui rien demain rien


Tes seins, je les imagine dans toutes les positions que la vie puisse faire. Ton cul est une offrande. Tout ton corps est voué au soleil. Je n'ai qu'à tendre les bras pour te cueillir, fraîche enfant. Mais pourtant tu n'es pas à moi, tu n'es plus à moi, je regrette encore et toujours. J'en deviens aigri. Dans mes fantasmes les plus fous j'ai fait de toi une pute.

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