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02/07/2010

282. dansons!


La cour après avoir bu de la peinture plein les mains, le soleil en face, cette envie folle d'aller se noyer quelque part à la plage. J'avais envie de vos cheveux, je me suis contenté de croquer vos paroles. Quel dommage, vous n'étiez pas là et moi non plus, mais il fallait bien que je vous écrive pour une preuve originelle de ce que je fais de mieux: envier un monde qui n'existe plus.

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