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04/12/2009

438. ne pas lire, ne pas écouter, ne pas chialer devant les oriflammes permanentes


Sous les élytres se cachent tes ailes d'ange. Dans le froid je gronde ton nom: vérité.

Sous tes lunettes se cachent tes yeux incertains, dans le noir je les trouve: amour.

Sous les tropiques je me prélasse, je hurle parfois des sentiments malin: savoir.


Natation interrompue ce matin.
Au lever j'ai pensé à eux sur la plage. Je savais tout.
Des idées? Des promesses? je ne sais pas vraiment.
Et l'avenir parfois semble plus incertain encore.
Gaspard est parti, n'en parlons plus.

Enfin je deviendrai pour toi l'enfant terrible que tu aimais.


Je ne sais pas où les heures passent.

Et toujours en silence, et jamais on se noie.


Tempérament incertain. Je suis fier d'elle, mille questions.

Arrivera bien les heures, toujours les heures.

Il fera froid ou chaud j'en sais rien. Je tiendrais sa main. Toujours.

Même dans le noir.

Et alors on verra nos tableaux, des vagues qui nettoient.

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